#5. FILMER BXL QUI CHANGE – ‘NUIT & JOUR’

Une fois par mois, de janvier et juin 2022, nous vous présentons l’un des films de la série Ateliers Urbains, cette collection de 19 opus participatifs et collectifs qui offrent aux Bruxelloises et Bruxellois de s’exprimer sur leur ville.
De la transformation de la Place Flagey en 2011 à la destruction de l’Avenue de Stalingrad au profit de la future ligne de métro 3 en 2021, cette série documentaire raconte l’évolution d’une capitale, dans ses liens entre choix urbanistiques/politiques venus d’en haut et justice spatiale vécue en bas. Elle pose également la question du devenir de dispositifs participatifs et collectifs comme celui d’Ateliers Urbains qui permet à tout un chacun/e de critiquer et penser son lieu de vie.

「 Dans des lieux chaleureux choisis en fonction de leur localisation dans le territoire du film présenté, le film est suivi d’un débat entre deux invités parmi lesquels architectes, urbanistes, réalisat.rices.eurs-participant.es, chercheur.e.s, médiat.rices.eurs culturels, expert.e.s de la participation citoyenne, habitant.e.s de Bruxelles, etc .
Ils aborderont des thèmes comme le logement abordable, la gentrification suite à la rénovation urbaine, la cohabitation en mixité d’usages et de fonctions, l’espace public inclusif, etc. Le dialogue plus informel peut se poursuivre par la suite. 」

𝗜𝗡𝗙𝗢𝗦 𝗣𝗥𝗔𝗧𝗜𝗤𝗨𝗘𝗦
◄ Inscription obligatoire: reservations@cvb.be
◄ entrée gratuite

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◄ Cinqième rendez-vous au Pianofabriek #13. ATELIER URBAIN: « Nuit et jour à Saint-Géry » | 2017 | 42′

Conseil scientifique et médiation du débat par Ana Póvoas (chercheuse à l’ULB).

𝘋𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘲𝘶𝘢𝘳𝘵𝘪𝘦𝘳 𝘚𝘢𝘪𝘯𝘵-𝘎𝘦́𝘳𝘺, 𝘢𝘶 𝘤𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘉𝘳𝘶𝘹𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴, 𝘭𝘦𝘴 𝘩𝘢𝘣𝘪𝘵𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘥𝘰𝘳𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘮𝘢𝘭. 𝘓𝘢 𝘷𝘪𝘦 𝘯𝘰𝘤𝘵𝘶𝘳𝘯𝘦 𝘥𝘦́𝘨𝘳𝘢𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘲𝘶𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́ 𝘥𝘦 𝘷𝘪𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘦́𝘴𝘪𝘥𝘦𝘯𝘵𝘴. 𝘈 𝘭’𝘪𝘯𝘴𝘵𝘢𝘳 𝘥𝘦 𝘉𝘢𝘳𝘤𝘦𝘭𝘰𝘯𝘦, 𝘉𝘦𝘳𝘭𝘪𝘯, 𝘗𝘢𝘳𝘪𝘴, 𝘭𝘦 𝘮𝘢𝘳𝘬𝘦𝘵𝘪𝘯𝘨 𝘶𝘳𝘣𝘢𝘪𝘯 𝘴𝘦́𝘷𝘪𝘵 𝘢̀ 𝘉𝘳𝘶𝘹𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴, 𝘲𝘶𝘪 𝘤𝘩𝘦𝘳𝘤𝘩𝘦 𝘢̀ 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘤𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦𝘴-𝘷𝘪𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘶 21𝘦 𝘴𝘪𝘦̀𝘤𝘭𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘭𝘪𝘦𝘶𝘹 𝘥𝘦 𝘳𝘦́𝘫𝘰𝘶𝘪𝘴𝘴𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘥𝘦́𝘥𝘪𝘦́𝘴 𝘢𝘶 𝘵𝘰𝘶𝘳𝘪𝘴𝘮𝘦 𝘦𝘵 𝘢̀ 𝘭’𝘦́𝘷𝘦́𝘯𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵𝘪𝘦𝘭. 𝘜𝘯 𝘨𝘳𝘰𝘶𝘱𝘦 𝘵𝘦𝘯𝘵𝘦 𝘥𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘦𝘯𝘵𝘦𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘴𝘢 𝘷𝘰𝘪𝘹… 𝘌𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘲𝘶𝘦𝘴𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘮𝘦𝘶𝘳𝘦 : 𝘥𝘦́𝘴𝘪𝘳𝘰𝘯𝘴-𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘷𝘳𝘢𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘤𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦𝘴 𝘷𝘪𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘦́𝘴𝘦𝘳𝘵𝘦́𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘩𝘢𝘣𝘪𝘵𝘢𝘯𝘵𝘴?